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    "Si la mer bouillaitil y aurait bien des poissons cuits"


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    "Les vagues sont peu de choses au regard de l'océan".


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    "La mer touche au plus profond de l'homme. Dans la lumière du soleil, n'est-elle pas le miroir de l'âme humaine" ?



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  • "Quand la Mer se déchaîne"... 

    Que la mer est belle avec ses blancs moutons ! 
    Mais soudain, elle se change en mégère impromptue : 
    Fantastique et sublime, semblable à mille démons 
    Qui fondent sur les maisons et font trembler les nues ! 

     
    Dans un ciel assombrit, déchiré par l'éclair, 
    Le vent et le tonnerre font plier les grands arbres, 
    Ballottant les oiseaux qui cherchent un repaire. 
    Neptune et Jupiter, ont réuni leurs armes !
     
     
    L'homme seul, au milieu des éléments déchaînés 
    Doit lutter pour sa vie et sauver son bateau, 
    Face aux furies infernales si déterminées, 
    Qui veulent à tout prix : l'emmener au fond des eaux... 

     
    Pauvres marins luttant contre : vague et orages, 
    Il vous reste " un ami - un guide sur la terre " 
    Debout sur les rochers, tout au bord du rivage, 
    Un ange solitaire scintille dans les ténèbres. 

     
    Seul, Stoïque, le gardien de phare - coupé du monde, 
    Assume et reste là... pour que les autres vivent ! 
    Harcelé de milliers de lames qui l'inondent, 
    L'encerclent, l'agrippent et meurent en vaines offensives ! 

     
    Là où finit la terre, la mer a son royaume ! 
    Belliqueuse : elle monte jusqu'au toit des maisons 
    Elle envahit les quais, et roule sur les chaumes, 
    Bousculant sur la digue les curieux de saison. 

     
    Le port avec ses rues sont recouverts d'écume, 
    Comme en pleine montagne, on marche dans la neige ! 
    La mer est mécontente et montre sa rancune, 
    Mais les vieux loups de mer, connaissent bien son manège ! 

     
    Déesse irascible, elle veut des sacrifices... 
    En sortant de son lit, comme une amante cruelle, 
    Elle emporte avec elle les meilleurs de nos fils ! 
    Mais qui oserait dire : que la mer n'est pas belle ?...

     

    (Jean-Claude Brinette)

     


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  • "La Mer"

    Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage.
    Et la mer est amère, et l'amour est amer,
    L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
    Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.

    Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage,
    Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
    Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
    Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.

    La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
    Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau,
    Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.

    Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
    Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
    Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.

    Pierre de Marbeuf

     

     


     

     


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